Les commissions issues du dialogue national ont repris mercredi leurs réunions, après que les différentes parties prenantes aient convenu de le prolonger d’une semaine afin d’approfondir les discussions autour de certains questions.
La reprise du dialogue mercredi a été terne comparée aux premières réunions, plus animées, malgré le boycott du FNDU, du RFD, de Sawab et de l’alternance démocratique.
Le dialogue lancé par le gouvernement se trouve confronté à certaines difficultés autour de divergences de fond relatives notamment aux articles relatifs à la limitation des mandats et à l’âge autorisé pour la candidature à la présidence de la république.
Les partis de l’opposition présents au dialogue sont catégoriquement opposés à la discussion de la question des mandats, non inscrite selon eux à l’ordre du jour, alors que la majorité tient à ce qu’elle soit discutée, car « le peuple a le droit de discuter tous les points car il constitue le pouvoir suprême » selon eux.
Elle fait référence pour cela à l’article 28 qui autorise le chef de l’état à consulter le peuple sur toute question nationale.
Les activistes de la majorité lient la discussion de la question de la révision de l’âge pour la candidature à la présidentielle, souhaitée par l’APP, afin de permettre à son président Messaoud O. Boulkheir de se présenter à la prochaine présidentielle, à celle des mandats.
Le bras de fer continue entre l’APP et les partis de la majorité autour de ces deux questions ce qui empêche toute avancée au niveau de la commission chargée des réformes constitutionnelles.
Au niveau des autres ateliers, c’est plutôt le calme plat.
Les divergences autour de questions clés, ont amené les participants au dialogue, lancé le 29 septembre, à le prolonger déjà deux fois.
source Saharamedias
La reprise du dialogue mercredi a été terne comparée aux premières réunions, plus animées, malgré le boycott du FNDU, du RFD, de Sawab et de l’alternance démocratique.
Le dialogue lancé par le gouvernement se trouve confronté à certaines difficultés autour de divergences de fond relatives notamment aux articles relatifs à la limitation des mandats et à l’âge autorisé pour la candidature à la présidence de la république.
Les partis de l’opposition présents au dialogue sont catégoriquement opposés à la discussion de la question des mandats, non inscrite selon eux à l’ordre du jour, alors que la majorité tient à ce qu’elle soit discutée, car « le peuple a le droit de discuter tous les points car il constitue le pouvoir suprême » selon eux.
Elle fait référence pour cela à l’article 28 qui autorise le chef de l’état à consulter le peuple sur toute question nationale.
Les activistes de la majorité lient la discussion de la question de la révision de l’âge pour la candidature à la présidentielle, souhaitée par l’APP, afin de permettre à son président Messaoud O. Boulkheir de se présenter à la prochaine présidentielle, à celle des mandats.
Le bras de fer continue entre l’APP et les partis de la majorité autour de ces deux questions ce qui empêche toute avancée au niveau de la commission chargée des réformes constitutionnelles.
Au niveau des autres ateliers, c’est plutôt le calme plat.
Les divergences autour de questions clés, ont amené les participants au dialogue, lancé le 29 septembre, à le prolonger déjà deux fois.
source Saharamedias