Le Collectif des Mauritaniens de France annonce une manifestation le 13 mai à Paris. Il s’agit d’interpeller l’opinion française et internationale sur la situation dramatique que vivent les Haratines, ces anciens esclaves et descendants d’esclaves maintenus en marge de la société avec la complicité du pouvoir, affirme Souleymane Niang.
«L’esclavage sévit toujours. C'est-à-dire qu’on fait travailler les victimes sans les payer. Toutes les tâches pénibles en Mauritanie sont confiées aux Haratines. Des domestiques ont été envoyés en Arabie Saoudite où ils ont été abandonnés à leur sort. Les victimes sont dépossédées de leurs terres. Ils travaillent pour les maîtres sans être payés. Et l’Etat fait tout pour ne pas éduquer ces populations qui vivent à la marge, abandonnées à elles mêmes dans les périphéries», accuse-t-il.
source géoplis/francetvinfo
«L’esclavage sévit toujours. C'est-à-dire qu’on fait travailler les victimes sans les payer. Toutes les tâches pénibles en Mauritanie sont confiées aux Haratines. Des domestiques ont été envoyés en Arabie Saoudite où ils ont été abandonnés à leur sort. Les victimes sont dépossédées de leurs terres. Ils travaillent pour les maîtres sans être payés. Et l’Etat fait tout pour ne pas éduquer ces populations qui vivent à la marge, abandonnées à elles mêmes dans les périphéries», accuse-t-il.
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