La Rapporteuse Spéciale des Nations Unies sur les formes contemporaines d’esclavage, Mme Urmila Bhoola, insiste sur la nécessité « de partenariats pour éliminer entièrement l’esclavage, ses causes et ses conséquences », dans une déclaration faite au terme d’une mission de 3 jours en Mauritanie.
L’objectif de ce déplacement est d’évaluer la mise en œuvre d’une feuille de route en 29 points pour l’élimination « des séquelles » de l’esclavage adopté en mars 2015 par le gouvernement mauritanien.
Au cours de ce voyage, l’experte onusienne a rencontré les autorités gouvernementales, les responsables des organisations de la société et les partenaires au développement, notamment les dirigeants des agences onusiennes.
Ainsi, l’experte onusienne « encourage la communauté internationale, y compris les donateurs et le bureau régional de l’ONU, à continuer à fournir un support financier substantiel au gouvernement, aux organisations de la société civile et autres parties prenantes dans la mise en œuvre en cours de la feuille de route et à s’assurer que les droits des victimes de l’esclavage et des pratiques semblables à l’esclavage soient intégrées à leurs activités ».
Les conclusions de cette mission en Mauritanie seront présentées au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU au mois de septembre 2017.
En dépit d’une législation juridique et judiciaire abondante adoptée par les autorités ces dernières années, le phénomène de l’esclavage reste au centre d’une vive polémique en Mauritanie.
Le gouvernement reconnait l’existence de «séquelles ».
Les ONG anti esclavagistes dénoncent un phénomène « couvert par une complicité et une impunité » favorisées par l’absence d’une réelle volonté politique.
source lecalame.info
L’objectif de ce déplacement est d’évaluer la mise en œuvre d’une feuille de route en 29 points pour l’élimination « des séquelles » de l’esclavage adopté en mars 2015 par le gouvernement mauritanien.
Au cours de ce voyage, l’experte onusienne a rencontré les autorités gouvernementales, les responsables des organisations de la société et les partenaires au développement, notamment les dirigeants des agences onusiennes.
Ainsi, l’experte onusienne « encourage la communauté internationale, y compris les donateurs et le bureau régional de l’ONU, à continuer à fournir un support financier substantiel au gouvernement, aux organisations de la société civile et autres parties prenantes dans la mise en œuvre en cours de la feuille de route et à s’assurer que les droits des victimes de l’esclavage et des pratiques semblables à l’esclavage soient intégrées à leurs activités ».
Les conclusions de cette mission en Mauritanie seront présentées au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU au mois de septembre 2017.
En dépit d’une législation juridique et judiciaire abondante adoptée par les autorités ces dernières années, le phénomène de l’esclavage reste au centre d’une vive polémique en Mauritanie.
Le gouvernement reconnait l’existence de «séquelles ».
Les ONG anti esclavagistes dénoncent un phénomène « couvert par une complicité et une impunité » favorisées par l’absence d’une réelle volonté politique.
source lecalame.info