Le Premier ministre, M. Yahya Ould Hademine a reçu en audience jeudi, à Nouakchott, la rapporteuse spéciale des Nations Unies chargée des formes modernes de l’esclavage, Mme Urmila Bhoola qui effectue actuellement une visite dans notre pays.
L’audience s’est déroulée en présence du commissaire aux droits de l’homme et à l’action humanitaire, M. Cheikh Tourad Ould Abdel Malick, de la directrice du cabinet du Premier ministre, Dr Mekfoula Mint Bourdide et du conseiller du Premier ministre chargé des droits de l’homme M. Isselmou Ould Eminouh.
Le rapporteur spécial des Nations Unies, Mme Urmila Bhoola qui a achevé jeudi une visite de trois jours en Mauritanie, a eu à rencontrer des personnalités officielles du Gouvernement et tenu un atelier de deux jours avec les représentants du Gouvernement, des organisations de la société civile et des agences des Nations Unies sur la mise en œuvre de la feuille de route de lutte contre les séquelles de l’esclavage.
La rapporteuse a, à l’issue de son séjour en Mauritanie a déclaré à la presse avoir eu des « rencontres avec les officiels du Gouvernement pour la collecte d’informations pendant la tenue de l’atelier conjoint avec le Commissariat aux droits de l’homme et à l’action humanitaire ». Elle s'est dite « très impressionnée par l’engagement du Gouvernement de la Mauritanie qui lui "’a été fortement démontré par une mise en œuvre efficace et effective des recommandations qui avaient été formulées par mes prédécesseurs" .
« J’ai pu remarquer, poursuit-elle, les grands progrès accomplis dans le domaine de la lutte contre l’esclavage et l’éradication de ses causes et conséquences.
J’encourage la Mauritanie à préserver davantage dans ces efforts et de continuer la mise en œuvre de cette feuille de route pour continuer ce long voyage afin d’arriver à bon port.
Le succès de la lutte contre l’esclavage doit se traduire par l’impact des efforts fournis sur la vie des victimes et sur les pratiques esclavagistes pour pouvoir évaluer les nouveaux standards de vie des victimes ».
Enfin, la rapporteuse de l’ONU a « remercié la Mauritanie pour avoir compris que le combat contre les séquelles de l’esclavage nécessite la collaboration avec la société civile et les partenaires techniques et financiers. »
source AMI
L’audience s’est déroulée en présence du commissaire aux droits de l’homme et à l’action humanitaire, M. Cheikh Tourad Ould Abdel Malick, de la directrice du cabinet du Premier ministre, Dr Mekfoula Mint Bourdide et du conseiller du Premier ministre chargé des droits de l’homme M. Isselmou Ould Eminouh.
Le rapporteur spécial des Nations Unies, Mme Urmila Bhoola qui a achevé jeudi une visite de trois jours en Mauritanie, a eu à rencontrer des personnalités officielles du Gouvernement et tenu un atelier de deux jours avec les représentants du Gouvernement, des organisations de la société civile et des agences des Nations Unies sur la mise en œuvre de la feuille de route de lutte contre les séquelles de l’esclavage.
La rapporteuse a, à l’issue de son séjour en Mauritanie a déclaré à la presse avoir eu des « rencontres avec les officiels du Gouvernement pour la collecte d’informations pendant la tenue de l’atelier conjoint avec le Commissariat aux droits de l’homme et à l’action humanitaire ». Elle s'est dite « très impressionnée par l’engagement du Gouvernement de la Mauritanie qui lui "’a été fortement démontré par une mise en œuvre efficace et effective des recommandations qui avaient été formulées par mes prédécesseurs" .
« J’ai pu remarquer, poursuit-elle, les grands progrès accomplis dans le domaine de la lutte contre l’esclavage et l’éradication de ses causes et conséquences.
J’encourage la Mauritanie à préserver davantage dans ces efforts et de continuer la mise en œuvre de cette feuille de route pour continuer ce long voyage afin d’arriver à bon port.
Le succès de la lutte contre l’esclavage doit se traduire par l’impact des efforts fournis sur la vie des victimes et sur les pratiques esclavagistes pour pouvoir évaluer les nouveaux standards de vie des victimes ».
Enfin, la rapporteuse de l’ONU a « remercié la Mauritanie pour avoir compris que le combat contre les séquelles de l’esclavage nécessite la collaboration avec la société civile et les partenaires techniques et financiers. »
source AMI