Le centre Savoir Pour Tous à Nouadhibou a abrité, vendredi matin, le lancement d’un atelier de formation sur les médias et travailleurs migrants au profit de 30 journalistes, organisé par un réseau des femmes journalistes de Mauritanie, en collaboration avec l'Organisation internationale pour la migration.
Cet atelier qui dure trois jours a pour objectif de développer les capacités de la presse en matière de couverture médiatique des questions liées au travail des migrants.
Les participants suivront des exposés qui traiteront, entre autres, de sujets tels que la couverture de l'immigration, par la presse locale de Nouadhibou, la presse et les droits de l'Homme, ainsi que les lois et conventions internationales ratifiées par notre pays, en plus de l'éthique en couvrant les questions relatives aux droits de l'homme, la manière de préparer les rapports de presse et nouvelles relatives aux travailleurs migrants.
Au cours de la supervision de l'ouverture de cet atelier, le directeur du cabinet du Wali de Dakhlet Nouadhibou, M. Cheikh Ould Mohamed El Hassan, a insisté sur l’importance de cet atelier pour les médias et les travailleurs migrants, dans l'espoir de contribuer au renforcement des capacités de la presse à couvrir les questions liées au travail des migrants.
À son tour, la présidente du réseau de femmes journalistes en Mauritanie, Mme Khdeija Mint El Moujtaba, a insisté sur le rôle joué par les médias dans la sensibilisation sur les droits humains en général, y compris les questions relatives aux droits des travailleurs migrants ainsi que la préparation et la diffusion de rapports journalistiques.
Elle a ajouté que le but de cet atelier est la formation des journalistes et leur encadrement de manière professionnelle sur les diverses questions liées au travail et à l’éthique.
Pour sa part, la représentante de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), Mme fille Fatima Samba, a indiqué que cette session s’inscrit dans le cadre d'une série de sessions que son organisation a cpnsacrées aux journalistes afin de mettre en évidence les lois et les traités internationaux relatifs aux travailleurs migrants.
L'ouverture de l’atelier a eu lieu en présence du conseiller du Président de l'Autorité de la zone franche de Nouadhibou et du Hakem et du DREN adjoint de l’Education de Nouadhibou.
source AMI
Cet atelier qui dure trois jours a pour objectif de développer les capacités de la presse en matière de couverture médiatique des questions liées au travail des migrants.
Les participants suivront des exposés qui traiteront, entre autres, de sujets tels que la couverture de l'immigration, par la presse locale de Nouadhibou, la presse et les droits de l'Homme, ainsi que les lois et conventions internationales ratifiées par notre pays, en plus de l'éthique en couvrant les questions relatives aux droits de l'homme, la manière de préparer les rapports de presse et nouvelles relatives aux travailleurs migrants.
Au cours de la supervision de l'ouverture de cet atelier, le directeur du cabinet du Wali de Dakhlet Nouadhibou, M. Cheikh Ould Mohamed El Hassan, a insisté sur l’importance de cet atelier pour les médias et les travailleurs migrants, dans l'espoir de contribuer au renforcement des capacités de la presse à couvrir les questions liées au travail des migrants.
À son tour, la présidente du réseau de femmes journalistes en Mauritanie, Mme Khdeija Mint El Moujtaba, a insisté sur le rôle joué par les médias dans la sensibilisation sur les droits humains en général, y compris les questions relatives aux droits des travailleurs migrants ainsi que la préparation et la diffusion de rapports journalistiques.
Elle a ajouté que le but de cet atelier est la formation des journalistes et leur encadrement de manière professionnelle sur les diverses questions liées au travail et à l’éthique.
Pour sa part, la représentante de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), Mme fille Fatima Samba, a indiqué que cette session s’inscrit dans le cadre d'une série de sessions que son organisation a cpnsacrées aux journalistes afin de mettre en évidence les lois et les traités internationaux relatifs aux travailleurs migrants.
L'ouverture de l’atelier a eu lieu en présence du conseiller du Président de l'Autorité de la zone franche de Nouadhibou et du Hakem et du DREN adjoint de l’Education de Nouadhibou.
source AMI