L'organisation « Greenpeace » qui s’investit dans le domaine de la préservation de l’environnement, a mis en garde, dans son récent rapport, contre le risque d’extinction de la richesse halieutique dans certains pays ouest africains dont la Mauritanie, du fait de la méthode adoptée par les bateaux chinois de pêche.
Selon cette étude, les eaux chinoises ne recèlent plus de richesses halieutiques, du fait des méthodes utilisées depuis fort longtemps par les bateaux chinois.
Les mêmes systèmes, ajoute cette étude, sont appliqués aujourd’hui par les bateaux chinois dans les eaux de l’océan atlantique que partagent des pays africains, la Mauritanie, le Sénégal et la Guinée Bissau.
L’organisation a appelé ces pays à réviser ou simplement dénoncer les accords conclus avec le gouvernement chinois, avant que n’intervienne une catastrophe environnementale du fait de la pêche abusive entreprise par les plus bateaux géants de pêche chinois dans la zone.
Greenpeace qualifie « d’extrêmement dangereuse » l’activité des bateaux de pêche chinois dans la zone ouest africaine, à laquelle s’ajoutent des activités illégales d’autres navires chinois dans cette zone.