Le syndicat national des étudiants mauritaniens, dans un communiqué distribué mardi, a demandé de mettre fin à ce qu’il a appelé « la situation floue qui prévaut au sein de la faculté de médecine » depuis le début de cette année universitaire alors que les professeurs poursuivent leur mouvement de grève.
Le communiqué ajoute qu’à ce jour les résultats de la session complémentaire de l’année précédente n’ont toujours pas été publiés.
Le plus grand rassemblement des syndicats universitaires « rejette avec force l’hypothèque de l’avenir académique des étudiants de la faculté de médecine » et rendant responsable la direction de la faculté et le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique de la dégradation de la situation actuelle.
L’union appelle tous ses adhérents à resserrer leurs rangs pour défendre les intérêts des étudiants et leurs droits légitimes.
Certains professeurs de la faculté sont entrés en grève depuis le début de l’année, un mouvement dirigé par le syndicat mauritanien des professeurs et chercheurs dans le domaine de la santé pour faire pression sur le rectorat de la faculté et les parties concernées par l’application de l’arrêté d’intégration ou à la rigueur obtenir un document qui atteste le début de son application dans un délai préalablement fixé.
source saharamedias.net
Le communiqué ajoute qu’à ce jour les résultats de la session complémentaire de l’année précédente n’ont toujours pas été publiés.
Le plus grand rassemblement des syndicats universitaires « rejette avec force l’hypothèque de l’avenir académique des étudiants de la faculté de médecine » et rendant responsable la direction de la faculté et le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique de la dégradation de la situation actuelle.
L’union appelle tous ses adhérents à resserrer leurs rangs pour défendre les intérêts des étudiants et leurs droits légitimes.
Certains professeurs de la faculté sont entrés en grève depuis le début de l’année, un mouvement dirigé par le syndicat mauritanien des professeurs et chercheurs dans le domaine de la santé pour faire pression sur le rectorat de la faculté et les parties concernées par l’application de l’arrêté d’intégration ou à la rigueur obtenir un document qui atteste le début de son application dans un délai préalablement fixé.
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