Le procès de l’ancien président Mohamed Ould Abdelaziz, poursuivi pour nombreux chefs d’accusation en rapport avec le détournement des deniers publics, amorce une nouvelle phase où les avocats de toutes les parties (Ministère public et défense) devraient tenter d’étayer ou d’infirmer les révélations liées aux interrogatoires.
Le président du tribunal pénal anti-corruption, Amar Ould Mohamed Lemine, a, en effet, annoncé l’inauguration des plaidoiries de la partie civile (Etat). Une soixante d’avocats emmenés par Me Ebetty tentera, à nouveau, d’enfoncer l’ancien président. Ils seront, sans doute, suivi dans leur lancée accusatrice par le ministère public avant de permettre à la défense d’apporter sa propre perception des faits.
ladepeche.mr
Le président du tribunal pénal anti-corruption, Amar Ould Mohamed Lemine, a, en effet, annoncé l’inauguration des plaidoiries de la partie civile (Etat). Une soixante d’avocats emmenés par Me Ebetty tentera, à nouveau, d’enfoncer l’ancien président. Ils seront, sans doute, suivi dans leur lancée accusatrice par le ministère public avant de permettre à la défense d’apporter sa propre perception des faits.
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