Après une lecture approfondie des listes de candidatures publiées ce samedi par le parti Union pour la République (UPR), il a été constaté l’absence de deux imminents hommes politiques du Trarza.
Cette "exclusion" a suscité de vives interrogations dans la rue mauritanienne.
Il s’agit là, du député de la moughataa de Méderdra et d’ailleurs ex- fédéral du parti dans la région, Mohamed Ould Cheikh. Le nom de ce dernier, n’a figuré sur aucune liste parmi celles présentées (municipales, régionales et législatives) par la direction du parti que dirige, Me Sidi Mohamed Ould Maham.
Ould Cheikh, avait joué un rôle prépondérant lors de l’élection de son successeur, l'actuel DREN du Trarza, à la tête de la fédération du parti, à l’ISET de Rosso, en juin dernier. Auparavant, l'homme s’est donné corps et âme dans la campagne d’implantation du parti et la constitution des unités de base dans son fief.
En plus, l’actuel président de l’Assemblée nationale, Mohamed Ould Boilil, a été, lui aussi éloigné de tout.
A l’issue de cette décision jugée surprenante par bon nombre de politiques, les observateurs s’interrogent sur l’avenir de ces deux poids politiques. A en croie que Mohamed Ould Cheikh (Méderdra) et Mohamed Ould Boilil(Keur-Macène) qui trainent derrière eux deux grands réservoirs électoraux.
Selon des informations qui nous sont communiquées par une source bien informée, la candidature de l'un des maires de Nouakchott, et proche d'Ould Boilil n'a pas été prise en compte.
Pour rappel, Mohamed Ould Boilil, ancien administrateur et plusieurs fois wali. A fait son entrée dans le parlement mauritanien, lors des élections législatives sous les couleurs du Rassemblement des forces démocratiques (RFD).
Plus tard, il claqua la porte de cette formation de l'opposition et s’installa avec armes et bagages à l’UPR. Un rapprochement du palais qui lui a été fructueux ! Mohamed,pour les amis, fut nommé ministre de l’intérieur et de la décentralisation, poste qu’il occupe jusqu’à la veille des élections de 2013.
En novembre 2013, il a été réélu député de la Moughataa de Keur-Macène sous les couleurs de l'UPR, pour occuper le fauteuil du président de l’assemblée nationale.
source tawary
Cette "exclusion" a suscité de vives interrogations dans la rue mauritanienne.
Il s’agit là, du député de la moughataa de Méderdra et d’ailleurs ex- fédéral du parti dans la région, Mohamed Ould Cheikh. Le nom de ce dernier, n’a figuré sur aucune liste parmi celles présentées (municipales, régionales et législatives) par la direction du parti que dirige, Me Sidi Mohamed Ould Maham.
Ould Cheikh, avait joué un rôle prépondérant lors de l’élection de son successeur, l'actuel DREN du Trarza, à la tête de la fédération du parti, à l’ISET de Rosso, en juin dernier. Auparavant, l'homme s’est donné corps et âme dans la campagne d’implantation du parti et la constitution des unités de base dans son fief.
En plus, l’actuel président de l’Assemblée nationale, Mohamed Ould Boilil, a été, lui aussi éloigné de tout.
A l’issue de cette décision jugée surprenante par bon nombre de politiques, les observateurs s’interrogent sur l’avenir de ces deux poids politiques. A en croie que Mohamed Ould Cheikh (Méderdra) et Mohamed Ould Boilil(Keur-Macène) qui trainent derrière eux deux grands réservoirs électoraux.
Selon des informations qui nous sont communiquées par une source bien informée, la candidature de l'un des maires de Nouakchott, et proche d'Ould Boilil n'a pas été prise en compte.
Pour rappel, Mohamed Ould Boilil, ancien administrateur et plusieurs fois wali. A fait son entrée dans le parlement mauritanien, lors des élections législatives sous les couleurs du Rassemblement des forces démocratiques (RFD).
Plus tard, il claqua la porte de cette formation de l'opposition et s’installa avec armes et bagages à l’UPR. Un rapprochement du palais qui lui a été fructueux ! Mohamed,pour les amis, fut nommé ministre de l’intérieur et de la décentralisation, poste qu’il occupe jusqu’à la veille des élections de 2013.
En novembre 2013, il a été réélu député de la Moughataa de Keur-Macène sous les couleurs de l'UPR, pour occuper le fauteuil du président de l’assemblée nationale.
source tawary