Il a rappelé que la réalisation de cet ouvrage, sera financée par la Banque africaine de développement (BAD) qui s’est engagée à décaisser 26 milliards Cfa, la Banque européenne d’investissement (BEI) qui contribuera à hauteur de 14 milliards Cfa, l’Union Européenne pour une subvention de 13 milliards Cfa.
Le financement assuré par la BAD et la BEI, sera sous forme de prêt, tandis que celui qui sera mis en place par l’UE, sera sous forme de don aux deux pays bénéficiaires, notamment le Sénégal et la Mauritanie.
S’adressant à la presse à l’issue de cette réunion et en présence du directeur régional de l’AGEROUTE, Mor Guèye Gaye, du coordinateur du projet Cheikh Tidiane Thiam, le gouverneur Alioune Aïdara Niang a souligné que ce pont aura une durée de vie de 100 ans, un linéaire de 1461 mètres, deux chaussées, une piste cyclable, une largeur de 3,60 mètres, des trottoirs et un tirant d’eau.
Il sera réalisé dans un délai de 40 mois sur le grand bras du fleuve Sénégal. A en croire le Gouverneur de la région de Saint-Louis, il est prévu de mettre en place, après le scrutin législatif, une commission régionale chargée de recenser les populations qui occupent les emprises de ce projet. Ces dernières bénéficieront d’indemnités si les responsables de ce projet estiment qu’il est nécessaire de les déguerpir.
source dakaractu.com
Le financement assuré par la BAD et la BEI, sera sous forme de prêt, tandis que celui qui sera mis en place par l’UE, sera sous forme de don aux deux pays bénéficiaires, notamment le Sénégal et la Mauritanie.
S’adressant à la presse à l’issue de cette réunion et en présence du directeur régional de l’AGEROUTE, Mor Guèye Gaye, du coordinateur du projet Cheikh Tidiane Thiam, le gouverneur Alioune Aïdara Niang a souligné que ce pont aura une durée de vie de 100 ans, un linéaire de 1461 mètres, deux chaussées, une piste cyclable, une largeur de 3,60 mètres, des trottoirs et un tirant d’eau.
Il sera réalisé dans un délai de 40 mois sur le grand bras du fleuve Sénégal. A en croire le Gouverneur de la région de Saint-Louis, il est prévu de mettre en place, après le scrutin législatif, une commission régionale chargée de recenser les populations qui occupent les emprises de ce projet. Ces dernières bénéficieront d’indemnités si les responsables de ce projet estiment qu’il est nécessaire de les déguerpir.
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